Une triste nouvelle
Brusquement, soudainement,
Tu m'as quitté, maintenant.
Et le serpent qui sifflait à ma tristesse
Me rappelait chaque fois ta paresse.
Car paresseux, ça oui, tu l'étais !
Et d'un naturel amoureux, tu aimais l'amitié.
Rires, bonheur sans façons,
Étaient ce que tu côtoyais comme chansons.
Tu aimais vivre pleinement ;
Sans jamais te soucier du temps.
Un temps qui t'a rattrapé,
Dont tu ne te faisais aucune idée.
Maintenant que tu es partis
Je m'en rends compte, mon ami,
Qu'en fait tu étais toujours là
Et qu'a jamais, tu resteras.