Plop, deux autres.
Le choix
Il est parfois difficile de choisir,
Quand on est confronté à beaucoup de possibilités.
Malgré cela, on choisit toujours l'un des choix,
Il faut juste faire attention à ne pas prendre le mauvais.
Le choix d'aimer,
Celui de dire la vérité.
Le choix de mentir,
Comme celui de mourir.
Parfois, quand on pense ne pas avoir le choix,
On pense beaucoup, mais on ne voit pas.
On ne voit pas qu'il y a certaines possibilités,
Et on passe presque toujours à côté.
Le choix de vivre,
Celui de l'amitié.
Le choix de dire,
Comme celui de conquérir.
On demande à nos proches,
Notre famille, nos amis.
On les écoute et on s'accroche,
A leurs bouches, à ce qu'ils disent.
Le choix d'écrire,
Celui de penser.
Le choix de rire,
Comme celui de chanter.
On a des doutes,
On choisit d'autres routes.
Mais on est vite fixé,
De savoir qu'on ne peut plus reculer.
Le choix de voir,
Celui de croire.
Le choix de s'expliquer,
Comme celui de se renfermer.
On lui dit je voudrais entendre ta voix,
Ou alors pouvoir voir ce rayon.
Mais on a toujours le choix,
Il suffit de choisir le bon.
Longtemps...
Cela fait bien longtemps,
Bien longtemps que je t'attends !
Bien longtemps que t'es partis,
Bien longtemps que je t'envie.
Je ne pouvais plus te voir,
Crois-moi, il n'y avait plus l'espoir.
C'était toi, je te croyais,
C'était toi, je t'aimais !
Maintenant, c'est trop tard,
Trop tard puisque tu pars.
Et je ne peux plus rien faire,
Plus rien faire pour te plaire.
Je le sais que je l'ai été.
J'aurais dû te dire la vérité.
Celle qui parlait de rester,
Celle qui parlait de t'aimer.
Cela fait bien longtemps,
Du temps où j'aurais dû être là,
Du temps où je te voyais pas,
Du temps où t'étais encore là.
Maintenant tu quittes la vie,
Tu la quittes pour toujours.
Quand j'étais tout près de toi,
J'aurais dû parler amour.
Mais j'avais peur de ta réaction,
J'avais peur de ce rayon ;
Celui que j'aurais vu dans tes yeux,
Celui qui m'aurait dit « Je suis malheureux ! »
Ceci est la chanson,
Celle de ton vieux compagnon.
Celui qui te parlait poème,
Celui qui ne te disait je t'aime.
J'aurais voulu aller voir la mort,
Pour lui dire, que j'étais pas d'accord !
J'aurais dû te demander pardon,
Avant que s'éteignent tes rayons.