Hop, les deux qui suivent.
Te revoir
Parce que tu me manques
Parce que je t'aime
Je voudrais t'entendre,
Dans mes bras, te prendre.
Je ne sais pas trop pourquoi,
Je voudrais te happer contre moi.
Parce que tu me manques
Parce que je t'aime
Même si tu ne le penses pas,
Sache que tu me manqueras.
Même si il a eu du mépris,
Sache que tu resteras gravée dans ma vie.
Parce que tu me manques
Parce que je t'aime
Je voulais te dire avant de partir,
Que tu m'impressionnes, que tu m'inspires.
Je n'en ai pas eu le temps ;
J'espère que tu me comprends.
Parce que tu me manques
Parce que je t'aime
Maintenant que je ne te vois,
Je ne peux m'empêcher de vouloir ta voix.
Je veux que tu reviennes,
Et qu'avec moi, le bonheur tu apprennes.
Parce que tu me manques
Parce que je t'aime
Je sais qu'ils t'ont fait du mal,
Et qu'ils t'ont bléssée avant que tu t'en ailles.
Mais sache que je serais là,
Et quoiqu'il arrive, je serais avec toi.
Parce que tu me manques
Parce que je t'aime
Je voudrais que tu sois à mes côtés,
Et sans exeption, t'embrasser.
Sentir le parfum de tes cheveux,
Et te dire cela : je suis heureux.
Parce que tu me manques,
Parce que je t'aime.
Une histoire
Je voudrais écrire une histoire,
Une que vous voudriez voir.
Une histoire pour le moins originale,
Où il n'y aurait aucun mal.
Et puis, une fois lue,
Vous me diriez qu'elle vous a plue.
Parce que vous l'auriez aimée, certes,
Mais aussi parce qu'il n'y aurait aucune perte.
Quand vous y penseriez,
Vous vous verriez en train de pleurer.
Car cette histoire serait unique,
Ce qui ferait que vous la trouveriez magnifique.
Et vos larmes, versées par tant de bonheur,
Atteindraient même le cœur des fleurs.
Puis elles prendraient leurs envols,
Comme tous ces oiseaux qui s'envolent.
Cette histoire, vous la raconteriez tellement de fois,
Qu'au final, vous deviendriez comme moi.
Vous ne seriez alors plus malheureux,
Car vous auriez vécu la même expérience qu'eux.
Voilà, c'est cette histoire que je voudrais écrire.
Mais d'abord il me faudrait survivre,
Car pour pouvoir la relire,
Il faudrait que je sache vivre.